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lundi 23 février 2009

PALAVAS LES FLOTS,PROMOTION,CAPITAINE,DE BELSUNCE,ALGERIE,MAROC

Bon on continue, y pas de raison de se priver de la brigade Sommerer (surtout que Sommerer est alpin et général oups)!

Toujours à la plage, les veinards et oui "mens sana, in corpore sano", vu les cavaliers de SAUMUR!
Surtout que la brigade Sommerer est obligé d'aller à la plage, car le chef de brigade s'appelle "été" en allemand "sommer=été", autrement gare à" la note de gueule", si t'es pas bronzé :) !

SCHOUFF un peu: clic sur les photos pour les agrandir.



La brigade Sommerer, dans sa majorité a choisi les Marsouins (para ou non), donc cette brigade chantait surtout:

Thomas Robert Bugeaud, marquis de La Piconnerie, duc d'Isly, maréchal de France, (1784- 1849) s’engage à 20 ans dans les armées de Napoléon. Simple caporal, il gagne tous ses galons sur les champs de bataille. Lors de la chute de Napoléon, il est colonel. Rallié à l’Empereur lors des 100 jours, il est exclut de l’armée par les Bourbons lors de la Restauration et se retire alors sur ses terres durant une quinzaine d’année. Elu député en 1831, il reprend du service dans l’armée et part en 1836 en Algérie avec pour mission de combattre Abd-el-Kader et de pacifier le territoire. Il signe un premier traité en 1837 et rentre en France ; il est renvoyé en Algérie en 1841, comme gouverneur général.
Son expérience des guerres napoléoniennes et notamment contre les partisans espagnols lui permet de lutter efficacement contre les rebelles algériens. Devenu Maréchal de France, il obtient en 1844 de pouvoir attaquer le Maroc qui aidait à Abd-el-Kader dans sa révolte. Le 14 août 1844, il remporte une brillante et décisive victoire à l’oued Isly : ses 11 000 soldats triomphent de 60 000 cavaliers marocains. Le Maréchal de France obtient le titre de duc d’Isly.



Horace Vernet, Bataille d'Isly, 14 août 1844 (détail).



Son gouvernement sur l’Algérie est marqué par sa volonté d’associer l'armée à la colonisation, fidèle à sa deise Ense et Aratro (par l'épée et la charrue). « … la guerre indispensable aujourd’hui n’est pas le but. Je serais donc colonisateur ardent, car j’attache moins de gloire à vaincre dans les combats qu’à fonder quelque chose d’utilement durable à la France… Il faut d’abord assurer la subsistance du peuple nouveau et de ses défenseurs ; il faut donc demander à la terre ce qu’elle peut donner. » disait-il. En fin connaisseur de la psychologie de ses adversaires, il cachetait ses lettres en arabe avec ce verset du Coran : La terre appartient à Dieu, et il la donne en héritage à ceux qu’il a choisis.
Un différent avec les autorités politiques l’obligent à rentrer en France. Il refuse de se présenter à la présidence de la République en 1848, se ralliant à Louis-Napoléon et s’éteint l’année suivante.

Il existe deux hypothèses sur l’origine de ce chant. Selon la première, une nuit, alors que les Français ont installé un camp, ils sont attaqué par surprise par les troupes de l’émir. La garde est surprise est les officiers montent à l’assaut. Le général Bugeaud en personne, sortant de sa tente, se rue à la bataille. A la fin de l’assaut, il s’aperçoit que tout le monde le regarde en souriant : il s’aperçoit qu’en lieu et place de sa casquette se trouve son bonnet de nuit en coton. Il réclame sa casquette et tout le camp de rendre « la casquette, la casquette… »





Le chef de fanfare du 3e bat d’Af créa par la suite le chant sur l’air de la sonnerie de marche.
Selon une seconde version, lors d’une marche forcée sous un soleil de plomb, Bugeaud remarque un tirailleur sans képi, perdu au cours d’un affrontement. Le général lui aurait alors donné sa propre casquette. Aux interrogations du soldat s’inquiétant de voir son chef tête-nue, le général répond : « tu m'apporteras le burnous d'un des premiers Arabes qui nous attaqueront ». Le tirailleur aurait lors de l’engagement suivant récupéré un drapeau à l’ennemi.



As tu vu la casquette, la casquette,
As-tu vu la casquette du pèr’ Bugeaud ?
Elle est faite, elle est faite, la casquette,
Elle est faite, avec du poil de chameau.




Ecouter le chant ICI.








La statue du maréchal Bugeaud à Alger

dimanche 22 février 2009

DE BELSUNCE,MEDITERRANNEE,MONTPELLIER,CARLA BRUNI,ECOLE APPLICATION INFANTERIE



Toujours à MONTPELLIER, pendant que le reste de la promo est à SAUMUR,DRAGUIGNAN,VALDAHON,COURTINE, BITCHE ETC... !

Bon une preuve, au CAP NEGRE.

La brigade DELABIE chante bien aussi, en hommage à ADJALIM, ils chantaient:


Les Africains (connu également sous les noms de C’est nous les Africains et de Chant des Africains) fut tout d’abord le chant officiel des Chantiers de Jeunesse, l’une des principales créations de l’Etat français du maréchal Pétain. Les paroles de ce chant datent de la Grande Guerre. Il a été écrit en 1915 par le sergent Bondifala et le tirailleur Marizot, avec pour musique celle de l’Hymne de l’infanterie de marine. Il fut remis à l’honneur durant la Seconde Guerre mondiale sur le sol africain par les Chantiers de jeunesse grâce au capitaine Félix Boyer qui le mit en musique. Félix Boyer s’occupait de la musique des Chantiers et prit « le commandement du 7e régiment de chasseur d’Afrique en janvier 1943 » (Thierry Bouzard).
Ce régiment de bérets verts, formés d’anciens des chantiers de jeunesse maréchalistes, ont combattu sous les ordres du général Juin pendant la campagne d’Italie avant de débarquer en Provence puis de se rendre jusqu’en Allemagne. C’est la raison de la dédicace de ce chant au colonel Van Ecke, commandant du 7e Chasseur en Afrique, également un ancien des Chantiers de Jeunesse (Chantiers de la jeunesse française selon leur nom officiel). Il fut le chant officiel de la 1re armée du général de Lattre de Tassigny.
Il a repris du service par les tenants de l’honneur et de la fidélité durant la guerre d’Algérie. Les Pieds-noirs l’apprécient beaucoup et le chantent lors de la plupart de leurs rassemblements ; il est donc considéré avec raison comme un chant « Algérie française » et plus généralement comme un chant patriote
.

Ecoutez le chant ICI

!